Climato-scepticisme
Consensus scientifique ?
- Liste de scientifiques sceptiques :
https://www.wikiberal.org/wiki/Liste_de_scientifiques_sceptiques_sur_le_réchauffement_climatique - Le mythe du consensus des 97%
https://www.contrepoints.org/2014/06/14/168805-le-mythe-des-97-de-consensus-sur-le-changement-climatique - Que vaut le consensus sur le climat ?
https://www.contrepoints.org/2019/09/29/354477-que-vaut-le-consensus-sur-le-climat
Tu trouveras dans les fils d’Elpis une déconstruction de l’argument du prétendu consensus des 97%
Sache qu’il y a aussi désormais de grands collectifs de chercheurs climato-sceptiques, qui comprennent plusieurs prix Nobel de physique, dont le dernier prix Nobel de physique 2022 qui est un directeur du collectif climato-sceptique CO²Coalition :
https://co2coalition.org/
https://clintel.org/
Critiques de la prédictivité du modèle climatique
Patrick Frank, Ph.D., is a member of the scientific staff of the Stanford Synchrotron Radiation Lightsource/SLAC at Stanford University
- Conférence : FRANK, Patrick. (2016). “No Certain Doom: On the Accuracy of Projected Global Average Surface Air Temperatures”. 34th Annual DDP meeting, Omaha, Nebraska.
https://www.youtube.com/watch?v=THg6vGGRpvA - Publication : FRANK, Patrick (2019). “Propagation of Error and the Reliability of Global Air Temperature Projections”. Frontiers in Earth Science, 7, pp. 223.
https://doi.org/10.3389/feart.2019.00223https://doi.org/10.3389/feart.2019.00223 - Réponse de Patrick Franck à la critique du climatologue Roy Spencer :
https://wattsupwiththat.com/2019/09/11/critique-of-propagation-of-error-and-the-reliability-of-global-air-temperature-predictions/#comment-2793185 - Réponse de Patrick Franck à la critique de Patrick Brown :
https://patricktbrown.org/2017/01/25/do-propagation-of-error-calculations-invalidate-climate-model-projections-of-global-warming/ - Patrick Frank s’est plus récemment contenté de mettre à jour son article pour l’adapter à la mise à jour du modèle du GIEC, toujours avec la même conclusion :
https://wattsupwiththat.com/2020/10/27/cmip6-update/
John Christy, climatologue, professeur des sciences de l’atmosphère à l’université d’Alabama à Huntsville, spécialiste mondialement reconnu des mesures de températures satellitaires.
- CHRISTY, John. (2019). “Confronter au réel les affirmations sur le climat”. Convention de l’association des climato-réalistes. https://www.youtube.com/watch?v=neIvOvNRgKEhttps://www.youtube.com/watch?v=neIvOvNRgKE
- Transcription : https://www.climato-realistes.fr/alarmisme-climatique-infonde-conference-john-christy-mai-2019/
GIEC
Elpis sur Twitter est un climatologue qui fait un bon travail de compilation, peut-être le meilleur que l’on trouve chez les climatologues du monde entier (il devrait refaire la même chose en anglais sur un autre compte Twitter). Il a fait des fils de tweets assez denses. Le premier fil est un ensemble de témoignages de scientifiques de renom à propos du GIEC, et le deuxième fil sont des arguments scientifiques :
“Le GIEC est constitué de 98 membres en 2022. La majorité n’a rien à voir avec le climat, l’ancien président, son expertise était sur les rails de train, l’actuel en économie. Voyons ce que pensent les autres scientifiques,
(liste non-exhaustive, je rajouterai progressivement)“
https://twitter.com/Elpis_R/status/1586732921074892805https://twitter.com/Elpis_R/status/1586732921074892805
“L’objectif de ce thread est de résumer toutes les observations et mesures disponibles relatives au paradigme du GIEC et de remettre en question tous les aspects de l’hypothèse du réchauffement climatique anthropique (qui n’a jamais été confirmée par une seule expérience).“
https://twitter.com/Elpis_R/status/1656787572096417792https://twitter.com/Elpis_R/status/1656787572096417792
Autres arguments
Un dernier argument intéressant est que les plus grands fonds d’investissements qui sont possédés par des gens qui financent énormément les chercheurs et organismes qui défendent le climato-alarmisme (l’inverse du climato-scepticisme), investissent massivement pour le long terme dans les zones côtières dont on prétend qu’elles seront ravagées par le climat, dont la montée des eaux.
En psychologie de la prise de décision on sait qu’il faut davantage faire confiance au jugement de quelqu’un lorsqu’il prend plus de risque, qu’il a plus à perdre s’il se trompe. On emploie parfois populairement l’expression “skin in the game” pour désigner ce phénomène. On constate un contraste énorme entre la communication politico-médiatique (j’inclus le GIEC qui, comme Elpis le montre, est un organisme principalement politique) et la manière dont ceux qui financent ce monde politico-médiatique et scientifique climato-alarmiste investissent : les organismes politiques et scientifiques qu’ils financent alarment, mais ils continuent d’investir à l’opposé de ces cris d’alarme. C’est un marqueur très intéressant parce que ces fonds d’investissements n’ont aucune tolérance pour les foutaises, et qu’ils ne se privent pas d’auditer les scientifiques qu’ils financent en les “convoquant dans leur bureau”, pour avoir des informations et faire de bons investissements.
Documentaires
Clintel - Climate: The Movie (VOSTFR)
https://youtube.com/watch?v=zmfRG8-RHEI
Ce nouveau documentaire incontournable @ClimateTheMovie dévoile l’hypocrisie des alarmistes climatiques et révèle comment cette industrie de mille milliards de dollars, alimentée par la cupidité et la peur, a manipulé les scientifiques et le public.
Ce documentaire de 80 minutes, réalisé par Martin Durkin @Martin_Durkin et produit par Tom Nelson @TomANelson, présente des scientifiques et des chercheurs de renommée mondiale qui examinent les sujets climatiques depuis de nombreuses années, parmi eux : le professeur Steven Koonin (auteur de Unsettled, ancien recteur et vice-président de Caltech), le professeur Dick Lindzen (ancien professeur de météorologie à Harvard et au MIT), le professeur Will Happer (professeur de physique à Princeton), le Dr John Clauser (lauréat du prix Nobel de physique en 2022), le professeur Nir Shaviv (Institut de physique Racah) ainsi que le Dr Roy Spencer, le professeur Ross McKitrick, le professeur Henrik Svensmark et le Dr Willie Soon.
Le film expose l’alarme climatique comme une peur inventée sans aucune base scientifique. Il montre que les études grand public et les données officielles ne soutiennent pas l’affirmation selon laquelle nous assistons à une augmentation des événements météorologiques extrêmes — ouragans, sécheresses, vagues de chaleur, incendies de forêt et tout le reste. Il réfute catégoriquement l’affirmation selon laquelle les températures actuelles et les niveaux de CO₂ atmosphérique sont exceptionnellement et inquiétant élevés. Au contraire, il est très clair, comme on peut le voir dans toutes les études grand public, que, par rapport aux cinq cents derniers millions d’années de l’histoire de la Terre, tant les températures actuelles que les niveaux de CO₂ sont extrêmement et inhabituellement bas. Nous sommes actuellement dans une ère glaciaire. Il montre également qu’il n’y a aucune preuve que les variations des niveaux de CO₂ (qui ont changé de nombreuses fois) aient jamais “conduit” au changement climatique dans le passé.
Pourquoi alors, nous dit-on encore et encore que le “changement climatique catastrophique d’origine humaine” est un fait irréfutable ? Pourquoi nous dit-on qu’il n’y a aucune preuve qui le contredise ? Pourquoi nous dit-on que quiconque remet en question le “chaos climatique” est un “négationniste scientifique” ?
Le film explore la nature du consensus derrière le changement climatique. Il décrit les origines de la vague de financement climatique et la montée de l’industrie climatique à mille milliards de dollars. Il décrit les centaines de milliers d’emplois qui dépendent de la crise climatique. Il explique l’énorme pression exercée sur les scientifiques et autres pour ne pas remettre en question l’alarme climatique : le retrait des fonds, le rejet par les revues scientifiques, l’ostracisme social.
Mais l’alarme climatique est bien plus qu’une manne financière et d’emplois. Le film explore la politique du climat. Dès le début, la peur climatique était politique. Le coupable était le capitalisme industriel de marché libre. La solution était des taxes plus élevées et plus de réglementation. Dès le départ, l’alarme climatique a séduit et a été adoptée et promue par les groupes qui favorisent un gouvernement plus important.
Regardez le film et partagez-le, la vérité ne peut être réduite au silence.